%0 Conference Proceedings %A Αργυροπούλου, Ρωξάνη Δ. %E %E Κιτρομηλίδης, Πασχάλης%E %E Σκλαβενίτης, ΤριαντάφυλλοςEditors %D 2004 %T Η ιστοριογραφία ως μέθοδος αυτοπροσδιορισμού της νεοελληνικής φιλοσοφίας %B Ιστοριογραφία της νεότερης και σύγχρονης Ελλάδας 1833-2002 %@ 960-7916-39-5 (σετ) %I Εθνικό Ίδρυμα Ερευνών. Κέντρο Νεοελληνικών Ερευνών %P 541–553 %U https://hdl.handle.net/10442/16551 %X L’intérêt pour l’étude de la tradition philosophique néohellénique s’inscrit en Grèce dans le vaste champ de la connaissance de la culture hellénique. Une première évaluation de la production philosophique néohellénique s’opère à l’âge des Lumières ; E. Voulgaris et C. M. Coumas mettent l’accent sur la nécessité de l’emploi de la méthode historique. Or la conception de l’histoire de la philosophie change pendant le romantisme avec le sens donné par la théorie hégélienne au concept d’histoire. Mais, c’est Th. Voréas qui instaure la philosophie néohellénique, en tant qu’un champ à part de l’histoire de la philosophie grecque. Il se produit alors un important tournant plus novateur, et les travaux d’E. Papanoutsos, ainsi que ceux d’une lignée de chercheurs plus jeunes, s’inscrivent dans le sillage de Voréas. Durant les trente dernières années du vingtième siècle, on peut aisément constater un processus de rédéfinition de la philosophie néohellénique, dans lequel l’approche historique se joint à une interprétation de ses composantes ; dans ce foisonnement d’idées, on assiste à un élargissement du public, des champs d’études et des perspectives. %> Αποθετήριο Ήλιος / ΕΙΕ